Alerte à la peste vaccinale ! Le plus grand concepteur de vaccins met en garde – par Ivo Sasek

Mercredi, 12.05.2021

 Ce discours est de la plus haute importance historique. Ivo Sasek relève ce que le Covid-19 a historiquement réellement fait – mais aussi ce qu’il n’a effectivement pas fait – depuis sa création jusqu’à aujourd’hui, le 11 mai 21. Ce « bilan provisoire » est très important car un autre concepteur de vaccins reconnu nous prévient que les vaccins Covid provoqueront une mort massive certaine. Geert Vanden Bossche a travaillé pour Novartis, GlaxoSmithKline, GAVI et la Fondation Bill et Melinda Gates. Et maintenant, il appelle à un arrêt immédiat de la vaccination !

L’appel suivant est peut-être le plus important que j’aie jamais fait. Afin que les faits mondiaux jusqu’à aujourd’hui, 11 mai 2021, soient intégrés historiquement parlant dans ce discours, nous regarderons d’abord aux événements écoulés se rapportant au Covid-19 de manière avérée. Puis nous nous concentrerons sur ce qui nous attend de manière imminente, selon les cris d’alarme urgents d’un virologue de renommée mondiale : Geert Vanden Bossche. Il ne s’agit donc pas d’un inconnu qui nous alerte, mais d’un ancien partisan convaincu des vaccins. En fait, Mr Vanden Bossche a été lui-même à l’avant-garde du développement des vaccins. Il a longtemps travaillé dans le domaine de la recherche sur les infections et la production de vaccins pour l’industrie pharmaceutique, pour des sociétés telles que Novartis, GlaxoSmithKline, ainsi que pour l’organisation GAVI et la Fondation Bill et Melinda Gates. Il été employé par chacune d’entre elles. Pourtant, il avertit maintenant que les campagnes de vaccination de masse contre le coronavirus vont provoquer une catastrophe mondiale absolue aux proportions pharamineuses ! Ce n’est donc pas une supposition, il l’affirme. L’expert s’est même adressé directement à l’OMS à ce sujet dans une lettre ouverte. Et Monsieur Vanden Bossche est si consterné par les mesures de vaccination actuelles qu’il a même lancé un appel urgent à l’Organisation des Nations unies pour qu’elle interrompe immédiatement toutes les campagnes de vaccination contre le coronavirus dans le monde. Si ce n’est pas le cas, dit-il, à la suite de la vaccination, des variants bien pires pourraient même s’amplifier, … vous m’avez bien compris : à la suite de la vaccination, … et finalement provoquer un nombre colossal de morts parmi la population. Écoutez bien ce que dit cet homme ! Mais j’en dirai plus à ce sujet à la fin de mon intervention.

Il est de la plus haute importance historique que nous fassions maintenant un bilan intermédiaire sur ce que ladite pandémie de Covid a réellement fait depuis son apparition jusqu’à aujourd’hui, le 11 mai 2021, d’une part, et d’autre part, précisément sur ce qu’elle n’a effectivement pas fait. En effet, si les prédictions de Mr Bossche se vérifient et qu’à la suite des vaccinations une véritable pandémie soit déclenchée dans le monde, il est d’ores et déjà prévisible que les auteurs de ce – appelons-le ainsi – imputent la faute à tous les non-vaccinés, via les mass-médias. Pour l’instant, il n’y a pas suffisamment d’éléments, et je pense qu’il n’y a pas non plus assez de plaintes pénales déposées auprès des procureurs partout dans le monde pour, à la fois cimenter les circonstances liées au Covid à ce jour et mettre en lumière le danger qui nous attend. La diffusion à grande échelle du contenu de cette émission est d’une telle importance que nous ne pouvons pas agir assez vite. Écoutez cet appel, s’il vous plaît ! Mais passons maintenant à un scénario, que je vais présenter de manière purement fictive, afin de mieux saisir la subtilité de toute cette histoire : Imaginons être à présent en l’an 1347, où il y a eu effectivement une épidémie de peste noire. Qu’est-ce qui se passe en nous en écoutant ce message fictif ? C’est de la fiction, n’est-ce pas ? Écoutez ça comme si c’était une émission radio. Si tu entends :

« Depuis un an, la peste noire sévit dans toutes les régions du monde. Des millions de personnes sont couvertes de pustules noires, mais environ 98 % des personnes atteintes de la peste sont déjà rétablies, guéries ! Pourtant, les experts disent qu’il n’y a pas encore de raison de donner le signal de fin d’alerte, car ils craignent que les pustules noires ne réapparaissent. »

Maintenant, je vous demande : Comment réagirions-nous si nous entendions un tel message ? C’était juste une allégorie, mais que ressentons-nous ? Oui, c’est vrai : la peste noire n’aurait aucune pitié ! Si vous l’attrapiez, elle ne vous quitterait plus, comme une grippe vous quitterait peut-être. Et c’est comme ça. C’est un fait ! Mais jusqu’à présent, la plupart des personnes qui ont été affectées par le Covid se sont rétablies en peu de temps Vous me suivez ? Et cela s’est typiquement toujours passé ainsi avec les épidémies de grippe. Pourtant, nous continuons à être réglementés par nos gouvernements comme si la mort noire sévissait ! Vous comprenez ?

C’est pourquoi nous parlons maintenant de ce qui se passerait réellement dans ce monde si une « pandémie d’une telle gravité » se produisait réellement à ce jour, comme les pandémies que nous avons connues jusqu’à présent. Seul le degré de gravité peut déterminer les mesures générales à prendre ! Et le fait que cela s’est réellement passé en 1347, comme je suis sur le point de le décrire, personne ne peut le contredire aujourd’hui. J’espère, bien sûr, que mes paroles auront un effet conciliant. Mais avant de le faire, je vais vous expliquer pourquoi j’aborde la question de cette manière précise. Je suis pleinement conscient, je le dis d’emblée, qu’aucune épidémie ne peut être comparée à 100 % avec une autre, et certainement pas la peste avec l’une des 80 autres maladies contagieuses, voire plus, car la peste noire est la pire forme de pandémie que nous connaissions. Quant à savoir si, avec ou depuis le Covid-19 des mesures aussi cruciales, voire carrément inhumaines, doivent être prises, et ce, comme si une pandémie de la gravité d’un fléau sévissait réellement ici – et également si le monde entier doit être contraint de lutter contre une pandémie de la gravité de la peste. C’est la raison pour laquelle je me permets maintenant de construire mon scénario précisément sur la base de cette échelle imposée et la comparaison des degrés de gravité. Êtes-vous prêt à ça ? Faites attention à ce que je vais dire :

Imaginons ce qui se passerait réellement si l’épidémie de 1347 se répétait de nos jours, c’est-à-dire à partir de 2020. Car ce sont précisément de tels décès massifs, comme ceux que nous avons connus au milieu du 14e siècle, qui caractérisent le terrible terme de « pandémie ». D’où le nom. La pandémie ne désigne donc en aucun cas uniquement la rapidité de propagation d’une épidémie, mais avant tout le degré de gravité d’une maladie infectieuse ou d’une épidémie. Et écoutez bien ! Au milieu du 14e siècle, toute l’Europe a été attaquée par une maladie contagieuse d’une gravité sans précédent : Du jour au lendemain, des gens de partout ont développé des pustules foncées sur tout le corps et tombaient ensuite comme des mouches. Et en très peu de temps – écoutez bien ce qu’est une véritable pandémie – en très peu de temps, un tiers de la population européenne est morte. En termes de chiffres, cela signifie que :

La peste a tué en une seule fois 26 des 80 millions d’habitants que comptait l’Europe à cette époque. Ce qui veut dire qu’une personne sur trois est morte ! Et maintenant, la comparaison avec aujourd’hui : selon le rapport de données de la Fondation allemande pour la population mondiale, l’Europe comptait 746 millions d’habitants à la mi-2019. 746 ! Je répète : je tire cette conclusion comparative, parce qu’on force le monde entier à prendre des mesures, comme si la peste noire faisait rage chez nous. Ainsi donc, alors que la pandémie de peste n’offrait aucune perspective de guérison, mais tuait inexorablement une personne sur trois, nos « gardiens de la santé publique » doivent eux-mêmes admettre que de toutes les personnes infectées par le Covid en Europe, 91 à 98 % se sont entre-temps rétablies. Vous voyez la différence ?

Si donc, on diffamait aujourd’hui à juste titre tous ceux qu’on qualifie de Covidiots et de négationnistes du Covid, etc., qui ne voient pas de pandémie grave derrière les chiffres réels des décès dus au Covid, mais seulement une nouvelle sorte de grippe, alors nous devrions nécessairement faire face à des quantités de décès aussi flagrantes aujourd’hui qu’au 14e siècle. Je vous dis qu’en ce moment même la moitié de la population mondiale devrait être en train de creuser des tombes.

Mais pour l’instant, concentrons-nous uniquement sur l’Europe : car en fonction du degré de gravité relevé au 14e siècle, la pandémie de Covid devrait alors générer 249 millions de morts en très peu de temps, rien qu’en Europe. Je souligne : uniquement en Europe ! Et ces 249 millions ne seraient alors exclusivement – et sans ambiguïté – que les morts dus au Covid, sans compter tous les autres décès. Toutes les autres causes de décès et les victimes des 84 autres maladies infectieuses ne seraient pas inclues dans ce nombre !

Alors, combien de millions de morts supplémentaires cela ferait-il dans le monde entier ? Comme je l’ai dit, depuis plus d’un an, toute la population mondiale est maintenue dans un état de confinement si extrême et sans précédent que le danger qui se cache derrière est suggéré comme étant bel et bien pire que la peste noire. Voyez comment ça fonctionne. La population mondiale comprend actuellement environ 7 865 000 000 habitants. Donc, sept mille millions et même plus. Si on devait appliquer aujourd’hui le même taux d’infection qu’en 1347 à l’ensemble de la population mondiale, il y aurait eu, en très peu de temps, bien plus que 2,5 milliards, c’est-à-dire 2 500 millions de personnes qui seraient mortes ! Ça, c’est une pandémie, vous comprenez ? Et je répète : Si de telles « forces dévastatrices » étaient à l’œuvre, telles celles que nous appelions encore récemment, à juste titre, « pandémie » ou « épidémie », alors ce ne serait pas seulement une personne sur deux en Europe, mais aussi une personne sur deux dans le monde, qui devrait s’occuper principalement du problème de l’évacuation des cadavres. Car depuis longtemps, d’innombrables reportages dans les médias et sur Internet dénoncent la surcharge dramatique des crématoriums dans le monde entier. Des centaines de fois, cela se ressemble, comme par exemple le crématorium Nordheim. Là, les gros titres disent : « Des équipes supplémentaires à cause du Covid-19 » – ou comme par exemple, le quotidien NZZ – des centaines de rapports de ce type. (https://www.nzz.ch/zuerich/krematorium-nordheim-extra-schichten-wegen-corona-ld.1593493?reduced=true ).

Le fossoyage, en d’autres termes, deviendrait un problème mondial majeur en très peu de temps. C’est là le point essentiel. Nous reviendrons plus tard sur ce sujet. Mais le point crucial est le suivant : depuis le début de la prétendue pandémie, ce ne sont pas du tout 200 ou 249 millions de personnes qui sont mortes en Europe seulement, mais un peu plus de trois millions au total dans le monde entier – une petite différence, vous voyez ? Et cela inclut tous ces décès faussement attribués au Covid comme nous l’avons prouvé de manière irréfutable dans de nombreuses émissions de Kla.TV ! Donc, en résumé : il y a eu en vérité beaucoup moins de décès réellement dus au Covid qu’on ne le dit !

En bref : Jusqu’à présent, le nombre mondial de décès est 83 fois inférieur au nombre qu’il aurait dû y avoir rien qu’en Europe, s’il s’agissait vraiment d’une pandémie telle qu’on veut nous la faire combattre par décret.

Néanmoins, le Covid-19 a été affiché depuis de longs mois sans relâche, jour et nuit, comme la pandémie la plus grave au monde. Les nations sont terrifiées, ce qui est un crime réellement monstrueux. C’est pourquoi nous nous confrontons au scénario d’une comparaison mondiale avec le 14e siècle – qui correspond bel et bien à la gravité publiée. Je m’en tiens à cette comparaison et c’est pourquoi je me permets de souligner qu’il faudrait s’attendre à 2 milliards 621 millions et 666 666 morts. Ça, c’est le chiffre auquel nous serions confrontés. Cependant, si on calcule ainsi, il y a 873 fois moins de décès dans le monde car, selon le quotidien Tagesanzeiger par exemple, il y a jusqu’à 99,6 % des personnes infectées par le Covid qui en ont été guéries peu de temps après.

Voyez-vous, ces chiffres fluctuent, j’en suis conscient. Mais vous devez aussi être conscient d’une chose. Lors de la peste, lors d’une vraie pandémie, ces chiffres ne fluctuent pas. C’est ainsi qu’on démontre la différence entre grave et sans gravité. En Europe même, un peu plus d’un million de personnes sont mortes à ce jour, y compris toutes les personnes « qui sont mortes avec et non à cause du coronavirus ». Et cela signifie qu’en réalité, beaucoup moins de personnes sont mortes « à cause du coronavirus » ! ! Nous avons fait suffisamment d’émissions à ce sujet. Ainsi, par rapport à une pandémie de la gravité de celle que nous devons combattre, le nombre imminent de décès en Europe seulement devrait être multiplié par environ 230 ! Mais nous revenons maintenant au scénario fictif de l’enterrement des morts, qui, Dieu merci, ne s’est pas produit. Maintenant, soyez attentif, car comme une seule crémation prend en moyenne une heure et demie, Internet est déjà plein à craquer de rapports sur des crématoriums du monde entier, qui doivent déjà être à la limite de leur capacité, avec trois millions de morts au total dans le monde. Maintenant, écoutez bien : dirigeons nos regards vers la Corée pour mieux comprendre. Qu’y a-t-il en Corée ? Séoul, mégapole de 24 millions d’habitants, est considérée comme la deuxième plus grande ville au monde. Là, dans le parc commémoratif de Séoul, l’un des plus grands crématoriums du monde s’étend sur 18 000 m². La revue d’architecture Deutsche Bauzeitung a décrit ce giga-crématorium comme « une gigantesque machine à crémation » dans son article du 3 juillet 2013. (https://www.db-bauzeitung.de/architektur/eine-reise-auf-dem-pfad-zum-himmel/ ). Pas étonnant que les habitants de Séoul se soient battus pendant 14 ans contre la construction de ce projet aussi grand que trois terrains de football. Aujourd’hui, cependant, Séoul est heureuse d’avoir ce crématorium de haute technologie, car ses onze incinérateurs superpuissants peuvent traiter jusqu’à 65 crémations par jour. Maintenant, réfléchissons un peu. Si Séoul devait toutefois incinérer à elle seule les quelques 3 millions de morts du Covid répertoriés dans le monde à ce jour, cela prendrait 47 365 jours, soit environ 130 ans. Est-ce que nous comprenons ? Si nous, Suisses, les aidions maintenant avec nos 26 crématoriums, nous pourrions le faire avec la Corée en un peu moins de cinq ans. Ce serait néanmoins possible à condition que nous, les Suisses, mettions d’abord à niveau nos 26 crématoriums pour qu’ils soient dotés des mêmes giga-incinérateurs que ceux du Seoul Memorial Park. Sinon, il nous faudrait plus de 20 ans pour incinérer ces 3 millions de cadavres. Voyez-vous ce qui pourrait arriver à l’humanité ? Parce que nos crématoriums n’ont en moyenne pas onze, mais seulement deux incinérateurs. De plus, bien sûr, il ne faudrait pas ajouter d’autres morts pendant tout ce temps, sinon ce serait encore plus terrible. Vous voyez, et cette vision d’horreur ne toucherait qu’un peu plus de trois millions de victimes réelles dans le monde que nous avons déjà actuellement, si on devait y remédier de la sorte.

Si, toutefois, 240 millions d’Européens devaient mourir subitement en quelques années, comme l’aurait présagé notre scénario fictif par analogie avec l’an 1347, tous les crématoriums du monde ne serviraient plus à rien du jour au lendemain. C’est ça que je voulais vous montrer, afin que vous sachiez à quoi vous attendre. Nous devrions enterrer tous les morts de nos propres mains. À chaque coin de rue, nous travaillerions sans relâche comme des fossoyeurs, car les morts d’une vraie pandémie apportent vraiment un danger avec eux. En bref : Qui que vous soyez, vous qui dénigrez toutes les personnes qui examinent la situation en les traitant de covidiots et de négationnistes du Covid, soyez bien plutôt reconnaissants que cette épidémie monstrueuse officiellement déclarée ne fait effectivement pas rage comme l’affichent ceux pour qui vous avez si fidèlement pris parti.

Mais je reviens maintenant à notre époque, à 2021, et aux cris d’alerte urgents du grand virologue Geert Vanden Bossche. Si les mises en garde de cet homme sont vraies, alors le scénario d’horreur décrit ci-dessus risque tout de même de se dérouler prochainement, et c’est là le drame : il pourrait se dérouler sur nous et nos enfants. Selon lui, ça va arriver. Au fait, j’ai directement annexé à cette émission la version la plus complète du rapport rédigé par Vanden Bossche. Le texte de l’émission qui suit peut également être téléchargé ci-dessous, il est inclus dans la transcription de cet enregistrement et peut être redistribué en cliquant sur l’onglet approprié. Veuillez utiliser ces fonctionnalités et tous les moyens de diffusion imaginables aussi longtemps que c’est encore possible. Car lorsque cette catastrophe éclatera, il y aura un désastre sans précédent, mais aussi des accusations réciproques, je crains même des meurtres et des homicides. Je conclus donc en citant à nouveau la lettre de Geert Vanden Bossche, qu’il a envoyée directement à l’OMS.

« Je suis tout sauf un anti-vaccin. En tant que scientifique, je n’ai pas l’habitude de faire appel à une telle plateforme pour prendre position sur une question liée aux vaccins. En tant que virologue engagé et expert en vaccination, je ne fais exception que lorsque les autorités sanitaires autorisent l’administration de vaccins d’une manière qui met en danger la santé publique. Et en particulier lorsque les résultats scientifiques sont ignorés.

La situation actuelle, des plus critiques, m’oblige à diffuser ce cri d’alarme. Alors que l’ampleur sans précédent de l’implication humaine dans la pandémie de Covid-19 menace de déboucher sur une catastrophe mondiale sans précédent, cet appel ne peut être assez puissant et retentir avec suffisamment de force et de clarté. » Pour conclure, je vous le demande: Transformons ce tollé en action : Diffusez ces avertissements tant que vous le pouvez. Déposez une plainte pénale auprès du ministère public de votre région. Dans le texte diffusé de mon discours « Test PCR au tribunal – les avocats portent plainte ! », qui se trouve à l’adresse www.kla.tv/18358 (en allemand), vous pouvez télécharger une plainte pénale complète, comme modèle. Bientôt, une version pour la Suisse y sera également disponible. Je l’affirme, le temps est compté ! Par conséquent, informez autant de personnes encore ignorantes que vous le pouvez avec ces avertissements. Faites tout ce que vous pouvez à ce sujet. Car c’est encore possible – mais – combien de temps encore ? Telle est la question. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 44 ans.

VIdéo de Zentral : l’appel de Geert Vanden Bossche L’un des plus grands virologues au monde, fervent défenseur des vaccins, tire la sonnette d’alarme. Une vaccination de masse contre le Covid déclencherait une catastrophe mondiale aux dimensions pharamineuses, selon le virologue de renom Geert Vanden Bossche. « Bienvenue à Zentral+. Je m’appelle Thomas Kalmud. Dans l’émission d’aujourd’hui, nous répondons à une interpellation urgente du virologue Geert Vanden Bossche. Monsieur Vanden Bossche a travaillé dans le domaine de la recherche sur les infections et le développement de vaccins pour les sociétés pharmaceutiques Novartis et GlaxoSmithKline, ainsi que pour l’organisation GAVI et la Fondation Bill & Melinda Gates. Il a lui-même mis au point des vaccins, et insiste particulièrement sur le fait qu’il est un défenseur de la vaccination. Pourtant, il prévient maintenant que les campagnes de vaccination de masse contre le coronavirus vont déclencher une catastrophe mondiale aux dimensions dantesques. A ce sujet, l’expert s’est même adressé directement à l’OMS dans une lettre ouverte. Monsieur Vanden Bossche est tellement préoccupé par les mesures de vaccination actuelles, qu’il a lancé une interpellation urgente à l’Organisation des Nations unies pour qu’elle arrête immédiatement toutes les campagnes de vaccination contre le Coronavirus dans le monde entier. Si cela ne s’arrête pas, des variants beaucoup plus infectieux deviendraient vraisemblablement encore plus nocifs et causeraient en fin de compte une mortalité massive de la race humaine. Dans sa lettre à l’OMS, il écrit : « Je suis tout sauf un anti-vaccin. En tant que scientifique, je n’ai pas l’habitude de faire appel à une telle plateforme pour prendre position sur une question liée aux vaccins. En tant que virologue engagé et expert en vaccination, je ne fais qu’une exception lorsque les autorités sanitaires autorisent l’administration de vaccins d’une manière qui met en danger la santé publique. Et en particulier lorsque les résultats scientifiques sont ignorés. La situation actuelle, des plus critiques, m’oblige à diffuser ce cri d’alarme. Alors que l’ampleur sans précédent de l’implication humaine dans la pandémie de Covid-19 menace de déboucher sur une catastrophe mondiale sans précédent, cet appel ne peut être assez puissant et retentir avec suffisamment de force et de clarté. » Selon M. Vanden Bossche, il n’a pas encore reçu de réponse de l’OMS, ce qui l’inquiète. Toutefois, Vanden Bossche souligne, qu’en soi il ne critique pas le vaccin. Il a déclaré que les vaccins contre le Covid autorisés jusqu’à présent ont été développés par des « personnes absolument brillantes ». Mais le virologue a insisté sur l’usage du bon vaccin au bon endroit. Et ne l’utilisez pas dans le feu d’une pandémie sur des millions de personnes. Selon lui, la vaccination des gens contre le coronavirus en pleine pandémie rendrait le virus plus contagieux. Cela augmenterait également la résistance des virus aux vaccins. En outre, selon M. Vanden Bossche, il est des plus probable que la vaccination de masse contre le coronavirus augmentera l’échappement immunitaire, car aucun des vaccins actuels n’empêche la transmission des variants viraux. Les vaccins ne peuvent donc ni éradiquer le virus ni prévenir l’infection. L’échappement immunitaire signifie qu’un virus mutant déjoue l’immunité innée de l’organisme. Contre le mutant, même le vaccin contre le Covid ne sert plus à rien. Et comme de plus en plus de personnes sont vaccinées contre le Covid, ces variants, qui sont déjà en circulation, émergeraient de plus en plus et deviendraient plus infectieux. Et c’est ainsi que le virus, de prime abord tout à fait inoffensif, devient un monstre incontrôlable, comme l’explique l’expert dans une interview avec le Dr Philip McMillan après la publication de la lettre à l’OMS. « Les vaccins prophylactiques ne devraient jamais être utilisés dans des populations déjà exposées à une pression infectieuse élevée », souligne M. Vanden Bossche. Il s’agit de connaissances de base en vaccinologie, qui sont enseignées dès la première année de formation. Or, avec les vaccinations de masse, c’est exactement ce qui est pratiqué dans le monde entier à l’heure actuelle. Vanden Bossche avertit : « Nous allons payer un lourd tribut pour cela. Et je parle avec émotion parce que je pense à mes enfants, à la jeune génération. Je veux dire, c’est juste impossible ce que nous faisons ici. Nous ne comprenons pas la pandémie. » En outre, le virologue se montre très critique à l’égard du confinement – en particulier le fait que des jeunes, dont on sait qu’ils n’appartiennent pas au groupe à risque et qui ont un bon système immunitaire, soient privés de tout contact avec d’autres personnes est pour lui incompréhensible. Il dit : « C’est pourquoi, dès le début, je me suis opposé à la fermeture des écoles et des universités, et à l’interdiction de tout contact entre les jeunes. En fait, des variants se sont développés à cause des mesures de confinement et des masques imposés par l’État, variants qui laissent entrevoir un potentiel d’échappement immunitaire. » L’expert médical souligne : « Les variants ne feront qu’augmenter, maintenant que les vaccinations de masse contre les germes chinois se déroulent à plein régime. Et ça, c’est de la science », souligne-t-il. Le chercheur avertit également que la vaccination durant la pandémie détruit le système immunitaire. Il est plus que préoccupé par les conséquences de cette épidémie virale. Selon M. Vanden Bossche, l’immunité innée de l’humanité sera gravement endommagée par les vaccins. Mais ces dommages ne sont pas limités aux personnes vaccinées. Les personnes vaccinées transmettraient des virus mutants aux personnes non vaccinées, ce qui déclencherait une crise sanitaire mondiale. Et ce serait de loin bien pire que ce qui se serait produit si la pandémie avait suivi son cours naturel. Lorsque les agents pathogènes ne peuvent être reconnus, ou échappent à la défense du système immunitaire par mutation ou à l’aide de mécanismes spécifiques, on parle d’échappement immunitaire. M. Vanden Bossche suppose que l’échappement immunitaire favorise également la propagation d’autres souches hautement infectieuses, car la vaccination de masse transforme de plus en plus les personnes vaccinées en propagateurs asymptomatiques. Ces derniers transmettent des virus hautement infectieux aux individus non protégés ou encore non infectés. C’est donc exactement le contraire de ce que les vaccins étaient censés faire à l’origine. Il est même possible que l’immunité innée soit complètement perdue. L’immunité innée désigne la capacité naturelle de l’organisme à combattre les agents pathogènes grâce à une immunité riche, variée et non spécifique. M. Vanden Bossche souligne que : « Des preuves scientifiques suffisantes ont été présentées. Malheureusement, elles n’ont pas été prises en compte par ceux qui ont le pouvoir d’agir. Combien de temps pouvons-nous ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves abondantes que l’échappement immunitaire viral menace désormais l’humanité ? Nous pouvons difficilement dire que nous ne savions pas – ou que nous n’étions pas avertis. » Le fait que la vaccination de masse entraîne un échappement immunitaire viral est observé par le biais des taux d’infection et de morbidité des pays qui ont déjà vacciné des millions de personnes en quelques semaines à peine. Vanden Bossche a donné des exemples : Le Royaume-Uni, Israël et les États-Unis. Alors que ces pays se réjouissent d’une baisse des taux d’infection, ils verront sans doute une forte augmentation des cas de Covid-19 dans les semaines à venir. Le virologue prévient : « La forte baisse que nous observons actuellement pourrait être suivie d’un plateau de courte durée. Mais une forte augmentation ultérieure des cas de maladies graves est inévitable. » Toutes ces questions devraient être clairement abordées, car après tout, il s’agit de toute l’humanité. Dans une interview avec le Dr Philip McMillan, Vanden Bossche a déclaré : « Je ne ferais pas ça si je n’étais pas convaincu à 200 %. Et il ne s’agit pas de moi, absolument pas de moi. Il s’agit de l’humanité. Les gens ne comprennent pas ce qui se passe en ce moment. Et nous avons le devoir de l’expliquer. Il s’agit de tes enfants. Il s’agit de ta famille. Il s’agit de tout le monde. Je mets tout en jeu parce que j’ai fait mon devoir. Et c’est simplement une obligation morale. » C’était l’interpellation du virologue Geert Vanden Bossche. Je pense qu’il faut se laisser le temps de digérer tout ça, et voir si et comment ceux qui ont le pouvoir de décision réagissent à ces thèses. Lors de cette émission, l’OMS n’avait pas encore pris position concernant l’interpellation de Bossche. Si vous ne voulez pas attendre jusqu’à ce que cela se produise, veuillez diffuser activement cet appel autour de vous. Le lien vers la lettre de Vanden Bossche à l’OMS se trouve dans le descriptif de cette émission. Et comme toujours, si vous appréciez nos émissions, cliquez sur « J’aime », abonnez-vous et n’hésitez pas à nous laisser un commentaire. N’oubliez pas non plus de vous abonner à notre chaîne sur Telegram et NewMaker afin de pouvoir continuer à suivre toutes nos futures émissions. Pour ma part, je vous remercie de nous avoir suivi – restez en bonne santé et à bientôt.

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