Parole pour Pâques : Le retour de Chrit – Dieu nous a-t-Il abandonnés ?
Même les chrétiens sérieux se posent de plus en plus cette question, car malgré l’apparition de l’Antéchrist, ni le retour attendu du Christ ni « l’enlèvement au ciel » salvateur ne semblent se profiler. Ce qu’Ivo Sasek a déjà exposé en détail en 2009 lors d’un concile international, il le résume ici en une heure seulement. Laisse-toi guider vers la source d’une force et d’une puissance de richesse illimités, car l’enlèvement tant attendu se déroule « un peu » différemment de ce que l’on attendait – par le retour de Christ EN TOI !
Vous voyez, rien que la question « Dieu nous a-t-Il abandonnés ? » indique que quelque chose a radicalement changé dans notre société. Ce qui veut dire que le monde est en crise. Et cette crise est si massive que même les chrétiens les plus fervents, mais aussi d’autres personnes craignant Dieu, commencent à douter de Dieu. Dans les réponses que je donne aujourd’hui, je tiens compte en premier lieu de ceux qui croient sincèrement en Dieu et qui Lui font confiance. Mais les premières réponses que je donne sur ce thème s’adressent à tous les hommes, et en particulier à ceux qui ne pensent pas grand-chose de Dieu, voire qui ne veulent rien savoir du tout. Car eux aussi, depuis quelques années, ont de plus en plus souvent le nom de Dieu à la bouche. Tout particulièrement depuis le 11 septembre 2001, donc le fameux 9/11.
Vous savez, quand la fille de Billy Graham a été interrogée à la télévision sur les attentats terroristes du World Trade Center à New York. On lui a demandé : « Comment Dieu a-t-Il pu permettre une telle chose ? » Anne Graham a alors donné la réponse suivante. Je la cite: « Je suis convaincue que Dieu est aussi attristé que nous par ces événements, mais pendant des années, nous Lui avons dit de Se retirer de nos écoles, de nos gouvernements et de nos vies. Et comme Dieu est un « gentleman », je pense qu’Il S’est tranquillement retiré. Comment pouvons-nous espérer que Dieu nous bénisse et nous protège si nous Lui demandons de nous laisser tranquilles ? » Fin de citation d’Anne Graham. Et à propos de cette déclaration, qui montre en toute clarté de quoi notre société est malade, d’autres constatations dignes d’attention ont été faites, que je voudrais également faire précéder de mes propres explications sur la question de savoir « si Dieu nous a abandonnés » :
Vous voyez, l’éviction de Dieu de toutes nos écoles et de tous nos systèmes étatiques a visiblement pris de l’ampleur, et ce précisément à partir du moment où des personnes comme Madalyn Murray O’Hair ont insisté sur le fait qu’elles ne voulaient plus de prières dans les écoles, par exemple. Et nous avons simplement accepté. Madalyn Murray a d’ailleurs été assassinée peu de temps après.
Et puis quelqu’un a suggéré qu’il valait mieux ne plus lire la Bible dans les écoles. La Bible qui dit : Tu ne tueras pas, tu ne voleras pas et tu aimeras ton prochain comme toi-même ! Et nous… avons accepté.
Puis un certain Dr Benjamin Spock a déclaré que nous devrions nous abstenir des châtiments corporels si nos enfants ne nous obéissaient pas, car leur petite personnalité pourrait être influencée négativement et nous pourrions nuire à leur estime de soi. Nous avons pensé que, bon, un expert doit savoir de quoi il parle et nous avons dit : « Eh bien, qu’importe. OK ». Mais le fils du Dr Spock s’est suicidé peu de temps après.
Mais nous étions également d’accord pour que cette déclaration ne s’applique pas uniquement aux écoles, mais aussi aux parents. Ainsi, ni les enseignants ni les parents ne devraient avoir le droit de « toucher » aux enfants désobéissants de quelque manière que ce soit.
Et puis quelqu’un a dit : « Permettons à nos filles d’avorter – même à l’insu de leurs parents ». Et nous avons répondu : « Eh bien, qu’importe.OK ».
Puis quelques membres intelligents du conseil d’administration de l’école se sont mis d’accord : « Nos garçons le feront de toute façon un jour ou l’autre. Donnons-leur donc des préservatifs quand ils le veulent et les parents n’auront pas besoin d’en être informés. Et ainsi, ils pourront se défouler et s’amuser à leur guise. » Et qu’avons-nous fait ? Nous avons à nouveau accepté.
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