Citation du journal de 8 heures de la radio suisse SRF1 du 19 janvier 2021 :

« Lutter contre le changement climatique signifie réduire le CO2, c’est-à-dire le dioxyde de carbone, le méthane étant généralement oublié. Le mélange d’hydrogène et de carbone est encore plus nocif pour le climat que le CO2. Il est principalement libéré dans l’agriculture lorsque le bétail rote, par exemple (…). »

Désolé, mais comme nous avons encore été inondés hier par ces énormes conneries du mainstream, je ne peux pas revenir à des conditions normales tant que je n’ai pas dit mon opinion à ce sujet. Et je me demande pourquoi, zut, il n’y a pas un grand tollé qui traverse le pays ? Alors que cette folie du changement climatique refait surface, alors que les agences internationales de l’énergie blâment avant tout nos vaches comme cause de la catastrophe climatique qu’ils propagent, et que cette fois-ci, ce ne sont plus seulement les vaches qui pètent, mais aussi celles qui rotent ! Sommes-nous vraiment complètement fous ? Comment ? Combien de merdes du mainstream, payées par le grand public, devons-nous vraiment recevoir dans la figure avant de tous enfin nous réveiller… j’ai dit TOUS ! Dans ce cas, il aurait pourtant fallu chaque jour une tempête d’indignation, 10 000, 100 000 lettres de protestation contre de tels médias, qui annoncent une telle folie, vous comprenez ? Kla.TV mentionnera donc aussi longtemps que possible les faits et les corrélations réels, car ceux-ci sont constamment dissimulés ou déformés par les médias financés par la redevance obligatoire :

Je le répète avec vous : Si les êtres vivants sur terre peuvent réellement provoquer un changement climatique, ce n’est certainement pas par les gaz intestinaux et les rots des vaches, vous comprenez, mais certainement avant tout par le fait, par exemple, que les essais d’armes nucléaires peuvent tout contaminer. Nous en avons déjà parlé. La valeur de détonation totale des 520 explosions nucléaires rapportées dans Wikipédia, dont 8 sous l’eau, est d’au moins 545 000 kilotonnes. Mais que signifie ce chiffre ? Une comparaison avec la bombe atomique américaine sur Hiroshima nous en donne la signification exacte. Ce que cela signifie, c’est que cette bombe atomique redoutée par le monde entier avait une valeur de détonation de 12 kilotonnes. Donc 12 kilotonnes contre 545 000 kilotonnes, vous comprenez ! La bombe atomique sur Hiroshima était plus de 45 000 fois plus faible que les 520 explosions nucléaires dans l’atmosphère et sous l’eau. Autrement dit, Hiroshima a été répétée plus de 45 000 fois dans l’atmosphère et sous l’eau depuis 1945 ! Quel impact sur notre monde ! Et par des scientifiques fous et des bellicistes. Et dans ce calcul il manque encore au moins 1 680 explosions nucléaires. Il n’est sans doute pas exagéré d’estimer qu’Hiroshima a été répété plus de 100 000 fois depuis 1945. Considérez ce nombre !

Mais comme n’importe quel enfant le sait, les fous font toujours leurs pires méfaits en secret. Ainsi, si on ajoute le fameux nombre de cas non signalés, la véritable destruction de notre planète augmente encore considérablement. Il faut mentionner ici les innombrables tonnes de munitions à l’uranium, qui ont été tirées lors des dernières guerres contre l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, le Yémen, la Syrie, etc. Comparons leur degré de destruction environnementale à celui des vaches, des voitures, des usines et autres, qu’on aime si souvent présenter comme agresseurs du climat par nos médias de masse.

Reconnaissez donc la différence de pollution environnementale, c’est-à-dire climatique, entre une simple bombe de 12 kilotonnes comme celle larguée sur Hiroshima et la pollution environnementale causée par les vaches. Ou bien comparez Hiroshima avec la pollution environnementale des endroits les plus pollués du monde, telle qu’elle a été accumulée au fil des ans par toutes les industries, les véhicules, les avions, les systèmes de chauffage, etc. Selon Statista 2016 la Chine, les États-Unis et l’Inde, outre leurs essais nucléaires, sont responsables de 50,44 % des émissions mondiales de CO2. C’est de la folie. Leurs villes les plus polluées ressemblent à ce que vous voyez derrière moi : les États-Unis (ville géante New York), l’Inde (Delhi), la Chine (Shanghai). Comparez ! Pouvez-vous voir la différence en matière de pollution ? A la question de savoir si les bombes atomiques sont responsables du mauvais temps, le physicien nucléaire français Charles Noël Martin et Albert Einstein ont répondu par un « oui » clair et net.

Des météorologues italiens et japonais de renommée mondiale ont aussi clairement attribué en premier lieu la responsabilité du temps anormal à ces explosions. Alors pourquoi les médias financés par les redevances obligatoires font-ils toujours référence avant tout aux rots de vaches ? C’est tout simplement de la folie. Réveillez-vous ! Martin et Einstein ont mis en garde de toute urgence contre la poursuite de tels essais de bombes, car ils perturbent bien plus que le seul équilibre climatique de la nature et mettent en danger la continuité de l’humanité entière. Albert Einstein, peu avant sa mort, a soutenu sans réserve l’avertissement de Martin et lui a ainsi donné une importance mondiale. Je tire la conclusion de ce qui a été dit :

Maintenant que la nouvelle administration américaine, par l’intermédiaire de Joe Biden, est sûre d’alimenter à nouveau l’hystérie climatique, faisons savoir à tous les peuples quels sont, avant tout, les véritables agresseurs du climat : Les taxes du climat doivent donc d’abord être payées proportionnellement par ceux qui sont manifestement responsables de la véritable destruction de l’environnement. De même, on ne doit pas pressurer les agriculteurs et les utilisateurs inoffensifs de moteurs à combustion, de chauffages au mazout et autres pour payer la facture des dommages climatiques… ! Nous, peuples démocratiques de la terre, nous interdisons à nos fonctionnaires et à nos militaires de faire la guerre – nous pouvons le faire, vous comprenez ? Nous sommes la démocratie ; nous leur interdisons la guerre et nous leur prenons, s’il le faut, tout l’argent nécessaire aux réparations ; tout d’abord, les milliards de budgets constants que nous avons dilapidés pour nos sciences, nos militaires et leurs médias qui sont devenus dangereux pour le public – nous les leur retirons tout d’abord – car ce sont surtout cette clique de malheur qui est la cause principale des catastrophes climatiques constamment déplorées.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 43 ans.