Ce document semble à nouveau si incroyable, si follement utopique et malsain, que je ne peux m’empêcher de mettre sur la table les faits bruts, les preuves irréfutables, avant d’en venir aux détails. De quoi s’agit-il ? L’ex-conseillère de Pfizer, Karen Kingston, aujourd’hui impitoyable lanceuse d’alerte, a mis en lumière un autre brevet validé depuis fort longtemps. Vous pouvez voir le numéro du brevet, ainsi que tous les faits qui s’y rapportent, ici à l’écran et dans le texte ci-dessous.

Le brevet s’intitule : «Système de libération de moustiques «toxiques» dans l’air. Ce brevet, ainsi que de nombreux autres brevets similaires, a été validé en 2015 déjà et il y est écrit textuellement, entre autres choses : «A des fins militaires, les moustiques pourraient transmettre un agent pathogène tel que le paludisme afin de provoquer des maladies, ou des agents pathogènes et des virus beaucoup plus contagieux pourraient être utilisés». Ce brevet, accompagné d’innombrables images, décrit dans les moindres détails chaque étape : depuis la mise au point de ces moustiques contaminés, comme armes biologiques, jusqu’à leur utilisation précise, à leur propagation par drones, etc. Nous sommes entourés de fous furieux, mes chers, le savez-vous ? Une folie particulière : même les soi-disant «fact checkers» ne nient pas que le brevet a été validé en mars 2015 et existe déjà officiellement ! Mais ils nient qu’il y aurait un quelconque lien avec l’armée américaine et que celle-ci l’utilise. En d’autres termes, c’est encore plus flagrant car c’est une personne privée, une entreprise privée qui obtient de tels brevets et sa véritable identité est tenue secrète même par l’office des brevets. Vous voyez, et au lieu d’arrêter immédiatement de tels cinglés, une fois de plus des mafieux, au lieu de confisquer leurs inventions meurtrières et de mettre tous leurs concepteurs derrière les barreaux, ils obtiennent encore des autorisations officielles pour leurs armes potentiellement meurtrières pour les peuples. Imaginez juste un instant ce qui se passerait si je déposais un tel brevet. Et ce qui a été révélé n’est certainement qu’une infime partie d’un ensemble bien plus grave. Nous venons d’apprendre que des vaccins nous seront bientôt administrés par le biais de fruits et de légumes, mais aussi de «moustiques vaccinateurs» spécialement élevés à cet effet. Gates a déjà lâché des moustiques lors d’un congrès afin de semer la panique dans le public et de sensibiliser les gens au paludisme. N’y a-t-il pas qu’un fou qui puisse faire une chose pareille ? Ceux qui ont ensuite exprimé la crainte que l’on veuille nous vacciner avec des moustiques porteurs du vaccin ARNm ont été, comme d’habitude, immédiatement rabaissés au rang de conspirationnistes. Ceci avec l’argument que le vaccin RTS,S actuellement disponible ne serait pas un vaccin à ARNm. En réalité, BioNTech a déjà envoyé un vaccin à ARNm contre le paludisme en phase 1 des études d’autorisation.

Cette expérience sur les peuples, dangereuse voire mortelle, avec des substances toxiques modifiant l’ADN, qui a débuté avec le Covid-19, doit donc définitivement être poursuivie de cette manière. Celui qui ne reconnaît pas à temps que tout se résume en fin de compte à des contaminations ciblées par ARNm se trompe ! Car finalement il s’agit d’armes biologiques militaires hautement efficaces, comme nous l’avons démontré depuis longtemps de manière approfondie et irréfutable lors des conférences AZK et avec Kla.TV. Ceux qui pensaient au début qu’il ne s’agissait que de science-fiction ont été détrompés par les pages Internet officielles des Nations unies. N’oubliez pas : l’ONU est une création maçonnique secrète.

En 2018, ces derniers ont en effet déjà documenté en détail et avec fierté leur élevage complexe de moustiques vaccinaux. En 2022, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) a également autorisé la dissémination de 2,4 millions de moustiques et d’œufs génétiquement modifiés dans le comté de Monroe, en Floride, et dans plusieurs comtés de Californie. L’EPA a annoncé des disséminations par l’entreprise de biotechnologie Oxitec entre 2022 et le 30 avril 2024. Le fait est donc que des centaines de millions de moustiques ont déjà été relâchés dans l’environnement à l’insu de la population. Et alors qu’entre 2003 et 2023, aucun cas de paludisme n’a été transmis localement aux États-Unis par des moustiques indigènes, les premiers cas de paludisme apparaissent soudainement là où les moustiques ont été relâchés. Et bien sûr, c’est l’entreprise financée par Gates qui a, comme toujours, mis dans la nature des millions de moustiques génétiquement modifiés. Mais si vous pensez que ce nom, qui ne doit jamais être oublié lors d’une attaque contre l’humanité, est le seul, vous vous trompez. Ce tueur d’hommes aux allures philanthropiques n’est encore qu’un garçon de courses d’une cabale bien plus importante, c’est-à-dire d’une bande d’intrigants qui lui est supérieure. Dès que les véritables chefs de cette secte mondiale de sociétés secrètes risquent d’être reconnus et percés à jour par le public, ils nous jettent à la figure un délinquant isolé quelconque, c’est-à-dire ce qu’on appelle sacrifier un pion. C’est ce qu’ils ont toujours fait, par exemple lors de leur attentat du 11 septembre avec Ben Laden ; c’est ce qu’ils ont fait lors de leur assassinat de Kennedy avec Lee Harvey Oswald, ou avant leur bombardement voulu de l’Irak avec leur agent de la CIA – je l’appelle ainsi parce que c’est la CIA qui l’a formé – Saddam Hussein, etc. – et c’est ce qu’ils feront à nouveau avec un Karl Lauterbach, un Christian Drosten ou un Spahn avant d’être démasqués comme les véritables auteurs de la plandémie de Covid. Finalement, ils ne s’arrêteront pas à un Bill Gates. Avant leur pire scénario, ils feront passer tous ces gens pour des délinquants isolés et les feront condamner par leurs médias subventionnés. Si la situation devient très tendue, ils sacrifieront même leur OMS toute entière – mais tout cela uniquement pour détourner l’attention d’eux-mêmes, c’est-à-dire ces cercles dirigeants encore pires, ces auteurs et ces détenteurs du pouvoir encore plus dangereux.

Quoi qu’il en soit, il semble qu’une nouvelle crise sanitaire fabriquée à dessein, cette fois-ci sur la base du paludisme, soit en train de se préparer. En effet, en 2021, de nombreux moustiques génétiquement modifiés ont déjà été lâchés au Texas. En 2022, 750 millions de moustiques génétiquement modifiés supplémentaires ont été lâchés dans les îles Keys de Floride. Et bien sûr, en Chine aussi, les moustiques injectent déjà des vaccins, non pas contre le paludisme, mais contre la leishmaniose.

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